• Quand j’avais six ans, j’ai dit à mon père que j’inventerais une machine pour parler aux animaux.

    MON PARCOURS

Je n’ai jamais eu d’animal chez moi. Certains pourraient voir ça comme un manque.

Moi, je pense que ça a été une force.

Quand j’étais enfant, mon frère participait à des compétitions d’athlétisme. Ces journées étaient longues et, au lieu de suivre les épreuves, je passais mon temps à observer les fourmis. J’étais fasciné par leur organisation, leur manière de communiquer, d’agir en groupe. Sans le savoir, j’entraînais déjà mon regard à décrypter le comportement animal, à chercher du sens derrière chaque mouvement.

Entre mes 7 et 10 ans, j’ai vécu en Nouvelle-Calédonie, au milieu d’une nature brute et sauvage. Avec mon frère, nous passions nos journées dans la mangrove, à observer les insectes, les escargots, les crabes. À défaut d’avoir un animal à la maison, j’apprenais à comprendre ceux qui nous entouraient. Pas en les domestiquant, mais en les observant, en respectant leur monde sans le perturber.

Quatre chatons dans un panier, avec des branches de lilas en arrière-plan, sur une pelouse.

Cette curiosité pour l’analyse du vivant ne m’a jamais quitté. En grandissant, elle s’est transformée en une autre passion :

Comprendre le mouvement et la façon dont les êtres vivants interagissent avec leur environnement.

J’ai d’abord exploré cela dans le sport et la danse, en devenant éducateur sportif et professeur de danse. Enseigner m’a appris à m’adapter à chaque individu, à analyser leur posture, leur gestuelle, leur manière d’apprendre.

C’est exactement ce que je fais aujourd’hui avec les animaux :

Décrypter leur communication non verbale pour mieux interagir avec eux.

C’est pourtant un événement plus personnel qui m’a fait basculer définitivement vers ce métier. En rencontrant ma copine et ses deux chats, Kyra et Réglisse, j’ai renoué avec cette passion.

À travers eux, j’ai compris que mon intérêt pour l’observation et la compréhension des animaux ne s’était jamais vraiment estompé. Réglisse, présentait plusieurs problématiques et mon envie de l’aider a été le déclic. Je voulais comprendre ce qui n’allait pas, trouver des solutions…

Joli papillon bleu sur une feuille verte.

Aujourd’hui, en tant que comportementaliste animalier, je mets cette capacité d’observation au service des chiens, des chats et de leurs propriétaires. J’analyse chaque animal pour ce qu’il est, sans projections, ni préjugés.

Mon approche repose sur trois piliers :

🔹 Comprendre l’animal avant d’intervenir


🔹 S’adapter à son histoire et à son environnement


🔹 Aider ses humains à mieux interpréter ses signes et signaux

Mon but n’est pas d’imposer une méthode unique, mais d’offrir aux propriétaires les clés pour construire une relation saine et équilibrée avec leurs compagnons.

Quand j’avais six ans, j’ai dit à mon père que j’inventerais une machine pour parler aux animaux.

Finalement, peut-être que je suis en train de la construire, d’une autre manière.

Je n’ai jamais eu d’animal chez moi. Certains pourraient voir ça comme un manque. Moi, je pense que ça a été une force.

Quand j’étais enfant, mon frère participait à des compétitions d’athlétisme. Ces journées étaient longues et, au lieu de suivre les épreuves, je passais mon temps à observer les fourmis. J’étais fasciné par leur organisation, leur manière de communiquer, d’agir en groupe. Sans le savoir, j’entraînais déjà mon regard à décrypter le comportement animal, à chercher du sens derrière chaque mouvement.

Entre mes 7 et 10 ans, j’ai vécu en Nouvelle-Calédonie, au milieu d’une nature brute et sauvage. Avec mon frère, nous passions nos journées dans la mangrove, à observer les insectes, les escargots, les crabes. À défaut d’avoir un animal à la maison, j’apprenais à comprendre ceux qui nous entouraient. Pas en les domestiquant, mais en les observant, en respectant leur monde sans le perturber.

Quatre chatons dans un panier, avec des branches de lilas en arrière-plan, sur une pelouse.

Aujourd’hui, en tant que comportementaliste animalier, je mets cette capacité d’observation au service des chiens, des chats et de leurs propriétaires. J’analyse chaque animal pour ce qu’il est, sans projections, sans préjugés. Mon approche repose sur trois piliers :

🔹 Comprendre l’animal avant d’intervenir
🔹 S’adapter à son histoire et à son environnement
🔹 Aider ses humains à mieux interpréter ses signes et signaux

Mon but n’est pas d’imposer une méthode unique, mais d’offrir aux propriétaires les clés pour construire une relation saine et équilibrée avec leurs compagnons.

Joli papillon bleu sur une feuille verte.

Cette curiosité pour l’analyse du vivant ne m’a jamais quitté. En grandissant, elle s’est transformée en une autre passion : Comprendre le mouvement et la façon dont les êtres vivants interagissent avec leur environnement.

J’ai d’abord exploré cela dans le sport et la danse, en devenant éducateur sportif et professeur de danse. Enseigner m’a appris à m’adapter à chaque individu, à analyser leur posture, leur gestuelle, leur manière d’apprendre. C’est exactement ce que je fais aujourd’hui avec les animaux : décrypter leur communication non verbale pour mieux interagir avec eux.

C’est pourtant un événement plus personnel qui m’a fait basculer définitivement vers ce métier. En rencontrant ma copine et ses deux chats, Kyra et Réglisse, j’ai renoué avec cette passion.

À travers eux, j’ai compris que mon intérêt pour l’observation et la compréhension des animaux ne s’était jamais vraiment estompé. Réglisse, présentait plusieurs problématiques et mon envie de l’aider a été le déclic. Je voulais trouver des solutions, comprendre ce qui n’allait pas.

Quand j’avais six ans, j’ai dit à mon père que j’inventerais une machine pour parler aux animaux. Finalement, peut-être que je suis en train de la construire, d’une autre manière.